Alors que les parlementaires britanniques ont rejeté ce 15 janvier le texte négocié avec l'UE définissant les modalités de sortie du Royaume-Uni, l’attribution d'un contrat de 13,8 M£ (15,4 M€) par le ministère des Transports britannique à Seaborne Freight continue de susciter beaucoup de remous. La compagnie sans port, sans navires, sans horaires, sans clauses juridiques ... n'en finit plus de faire l'objet... d'un examen minutieux.
Cet article est réservé aux abonnés. Le contenu de ce site est le fruit du travail de la rédaction pour délivrer une information de qualité et exclusive. Cette mobilisation a un coût et est financée par le revenu généré par la publicité et l'abonnement. En vous abonnant, vous contribuez à cette chaîne de valeur et assurer la pérennité de notre média. Découvrez nos offres.
Déjà abonné ? Identifiez-vous