Tracer la marchandise, sécuriser les transactions, fluidifier le passage portuaire, automatiser les process les plus complexes, permettre l’échange de données en temps réel, simplifier les procédures import/export… tout est désormais possible avec les outils numériques. Sources d’opportunité mais aussi de risques. Peut-on parler d’automatisation dans les ports européens? Pas encore. Pas tout à fait. Il faudrait plutôt parler de semi-automatisation des terminaux, rectifie Lamia Kerkoudj-Belkaid...
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