En quelques jours, l’épidémie aura gagné du terrain. La Chine a enregistré en 24 heures plus de 5 000 cas nouveaux tandis que 30 millions de personnes étaient confinés le 15 mars à la mi-journée. Une vingtaine de provinces sont touchées et Shenzhen, Zhejiang, Shanghai, Jilin, Suzhou, Guangzhou et Pékin ont été successivement fermés. Certaines compagnies ont pris les devants pour préparer leurs clients à de nouvelles perturbations.
supply chain
Shenzhen à nouveau confiné
ABONNÉ Publié le 14 Mars 2022
par Adeline Descamps
Alors que la guerre en Ukraine met à nouveau les chaînes d'approvisionnement mondiales à l'épreuve, la ville qui loge le quatrième port le plus fréquenté au monde est soumise à un confinement généralisé. Les autorités portuaires se veulent rassurantes mais les restrictions de mobilité des personnels ont été réactivées tandis que les accès aux terminaux sont strictement encadrés avec le retour des quotas imposés aux camions.
Le point sur les perturbations maritimes et portuaires
Publié le 16 Janvier 2022
par Adeline Descamps
L'année 2022 a commencé comme 2021 s'était achevée. La congestion portuaire, l’accumulation des navires au large, la faible rotation des conteneurs et la fermeté des taux de fret semblent avoir signé pour un nouveau contrat de travail en ce début d’année.
Chaîne d’approvisionnement mondiale, après le tsunami, les répliques…
ABONNÉ Publié le 01 Décembre 2021
par Nathalie Bureau du Colombier
Le covid n’est pas le seul responsable du dérèglement de la chaîne d’approvisionnement mondiale. Tensions géopolitiques, dérèglement climatique, alliances maritimes, pénurie de main d’œuvre... affolent l’industrie maritime depuis deux ans. Les conséquences ont été débattues à l’occasion de la sixième conférence des opérateurs portuaires européens organisée par leur fédération européenne, la Feport.
Tensions sur les chaînes logistiques mondiales : et après ?
Publié le 26 Octobre 2021
par Adeline Descamps
La crise sanitaire a mis en évidence les dépendances et interdépendances d’une chaîne de production concentrée à certains endroits du globe qui se facturent aujourd’hui en vulnérabilités. Quelle empreinte les dysfonctionnements laisseront-ils demain ? Des enjeux forts sur la remise à plat de la supply chain, répondent certains des intervenants à l’occasion d’un débat organisé le 26 octobre par nos confrères de L’Opinion. Avec Christine Cabau-Woehrel (groupe CMA CGM), Franck Mathais (JouéClub) et Thomas Grjebine (CEPII).
Le temps d'attente des navires au mouillage a doublé depuis 2019
Publié le 16 Juillet 2021
par A.D.
IHS Markit a mesuré le temps passé par les navires à attendre au mouillage qu’un poste d'amarrage se libère. L'Amérique du Nord a connu la plus forte détérioration, avec une moyenne de 33 heures en mai 2021 contre 8 heures en mai 2019...
Pénurie de conteneurs : quels coûts pour les entreprises françaises et européennes ?
ABONNÉ Publié le 16 Mars 2021
par Adeline Descamps
Dans sa dernière étude, Euler Hermes se penche sur les coûts engendrés par la pénurie de conteneurs qui pèsent actuellement sur la facture transport des chargeurs et des transitaires. Outre le renchérissement des coûts de fret, la société d'assurance-crédit française détenue par le groupe Allianz questionne d’autres facteurs comme la réorganisation des chaînes de valeur, les interruptions de la production, l’allongement des délais de livraison...
Kuehne+Nagel, DSV, DHL : des chiffres d'affaires en baisse, des profits en hausse et des stratégies contrastées
ABONNÉ Publié le 29 Octobre 2020
par Adeline Descamps
DSV n’a pas l’appétit contrarié et reste à l’affût d’opportunités une fois que le virus aura jeté tous ses feux. Kuehne+Nagel a opté pour la stratégie défensive pour ménager ses coûts d'exploitation. DHL, revigoré par son activité fret au troisième trimestre, se prépare pour la saison de Noël.
Supply chain : ils veulent tout changer après le Covid
Publié le 29 Avril 2020
par Adeline Descamps
Et vous, après le Covid ? Les professionnels du shipping veulent repenser leur stratégie d’expédition et d’approvisionnement à l’issue de leur expérience pandémique « qui les a menés en eaux troubles ». Ils sont 42,2 % à le confesser et un peu plus à préciser qu’ils investiront dans la technologie pour mieux rebondir.