L’entreprise gardoise Arcadie lance, aux côtés d’Enercoop et de Zéphyr & Borée, une compagnie de transport maritime décarboné en coopérative. À partir de 2025, un premier porte-conteneur à la voile transportera des marchandises, principalement des épices et des fruits, entre la France et Madagascar.
Zephyr&Borée
Le fonds européen Marguerite va devenir l’actionnaire majoritaire de Jifmar
ABONNÉ Publié le 23 Février 2022
par Adeline Descamps
En portant sa participation à 65 %, Marguerite II, un fonds européen d’infrastructures à long terme, notamment détenu par la Caisse des dépôts et consignation et la Banque européenne d’investissement, devient l’actionnaire majoritaire de l’armateur aixois de navires de services spécialisés et opérateurs d’engins marins. Jean-Michel Berud et Foad Zahedi restent aux manettes.
Nils Joyeux, Alizés : « La difficulté est de trouver des chargeurs prêts à s’engager sur un volume et une très longue durée »
Un porte-conteneurs à voiles dès 2023 ?
ABONNÉ Publié le 28 Avril 2021
par Étienne Berrier
Zéphyr & Borée, qui avec son partenaire Jifmar, fait construire un roulier à voiles pour transporter des éléments d’Ariane 6 de l’Europe vers la Guyane, planche sur un porte-conteneurs qui pourrait hisser les voiles fin 2023. P our résoudre la difficile question du chargement et du déchargement des conteneurs, l’armement nantais a travaillé avec des manutentionnaires.
Neoline, Towt, Alizés : voiliers cargos ou cargos à voile, où en sont-ils ?
Publié le 19 Octobre 2020
par Adeline Descamps
Les trois représentants de la filière vélique française, représentée par une quinzaine d’acteurs, sont particulièrement avancés dans leurs projets, dans la dernière ligne droite avant la mise en service de leurs premiers navires. Ils ont surtout réussi à adresser de grands et notoires chargeurs, pas de ceux qui investissent à la légère.
Le vent de la considération va-t-il enfin tourner en faveur de la propulsion à la voile ?
Publié le 19 Octobre 2020
par Adeline Descamps
En manque de visibilité auprès des acteurs politiques et des investisseurs alors qu’elles portent des projets en phase avec les urgences climatiques et commercialement crédibles après de grands chargeurs, les entreprises de la filière vélique ont le défaut d’être gourmandes en capitaux. En un tour d’horizon très complet, Armateurs de France a tout dit dans un atelier organisé la semaine dernière. Il manque juste à la filière une véritable politique industrielle pour se projeter sur du long-terme…